A l'initiative du CVAO et de l'ANEPF et en partenariat avec l'AFLAR
Les premiers États généraux du 1er recours chez le pharmacien
Que peut apporter la proximité du maillage des pharmacies et l’expertise du pharmacien et de son équipe aux 4 millions de personnes qui rentrent chaque jour dans nos officines à la recherche d’un conseil, d’un acte ou d’une solution thérapeutique ?
Comment classifier et caractériser toutes les situations et demandes de premier recours à la pharmacie au bénéfice des malades et des usagers ?
Des questions posées et des réponses données en juin prochain aux 1ers États généraux du 1er recours chez le pharmacien.
Éclairer toute l’étendue du 1er recours chez le pharmacien et son équipe officinale ou la pierre fondatrice d’une ambition
Depuis l’annonce des premiers États généraux du 1er recours par les présidents du CVAO et de l’ANEPF, les groupes de travail, regroupant étudiants et pharmaciens s’organisent déjà dans les territoires pour classifier et caractériser toutes les situations et demandes de premier recours à la pharmacie au bénéfice des malades et des usagers.
Ce travail original est fondateur. Il définit rigoureusement l’amplitude des réponses que peuvent apporter la proximité du maillage des pharmacies et l’expertise du pharmacien et de son équipe aux 4 millions de personnes qui rentrent chaque jour dans nos officines à la
recherche d’un conseil, d’un acte ou d’une solution thérapeutique.
Pour que ce travail de fond se construise en inter-professionnalité, les étudiants en pharmacie s’associent avec les internes de médecine générale.
Ils nous donnent rendez-vous dès juin 2021 pour présenter leurs visions et faire émerger une cartographie d’ensemble des demandes de premier recours chez le pharmacien.
Rendre visible l’acte officinal de premier recours
Riche des travaux fondateurs des États généraux du premier recours à la pharmacie de ville et porteur de la conviction que le grand public, les décideurs, les usagers et les malades n’imaginent pas tout ce que peut apporter la pharmacie de ville pour améliorer son bien-être et sa santé. Il est temps de favoriser l’expression auprès du grand public et des décideurs de la pluralité des actions et solutions apportées par la pharmacie de ville. Les étudiants en pharmacie seront par nature les ambassadeurs des officines pour offrir une vision à 360 ° lors de la journée des officines.
Associer les patients à la démarche
L’AFLAR accompagne plus de 20 millions de personnes souffrantes de pathologies rhumatismales ou de fragilités osseuses. Cette association a décidé de rejoindre les États généraux du 1er recours pour associer la voie des patients à l’amélioration de la pratique du
conseil du premier recours à la pharmacie. Son apport permettra d’établir la concordance entre les attentes, les besoins des biens portant comme des malades et les travaux des professionnels de santé du 1er recours.
Dessine-moi un espace de soin : un concours national !
La pharmacie de ville de 1er recours a besoin de dessiner son espace de soin pour contrecarrer une dérive par trop commerçante et contrainte de notre pharmacie de ville. Il est urgent de rendre visible les conceptions innovantes d’une officine lieu de soin et de rencontre. Les premiers États généraux du premier recours à la pharmacie présenteront les résultats de l’hackathon support d’une nouvelle vision de l’agencement de l’officine. Ce concours est proposé à tous les acteurs de la pharmacie de ville. Un jury pluriprofessionnel choisira les projets gagnants.
Un fond pour se donner les moyens d’innover
Promouvoir l’agilité, c’est aussi favoriser l’émergence d’outils innovants. Il est donc essentiel de créer les conditions nécessaires à ce que les projets innovants concernant le premier recours soient connus, accompagnés et financés. Un fond est à la fois un outil financier et aussi le moyen de réunir des expertises pour construire l’avenir d’une pharmacie agile.
Les États généraux du premier recours chez le pharmacien et l’équipe officinale seront d’autant plus créateurs d’enthousiasme et d’agilité que nous serons capables collectivement en y intégrant l’apport des patients et des autres acteurs de soin de décrire et caractériser l’ensemble des services et actes officinaux, d’en promouvoir la spécificité et de montrer auprès du grand public ce que responsabilité et prise de décision veulent dire pour les pharmaciens.
Le CVAO
Le Comté pour la Valorisation de l’Acte Officinal (CVAO) est né d’une ambition ; celle de valoriser la pratique des pharmaciens en utilisant les outils de la démarche qualité.
Son travail de plus de 15 ans sur les problématiques diverses de comptoir l’a amené à construire une méthodologie robuste capable de définir une pratique efficiente.
Aujourd’hui le CVAO propose sur son site (cvao.org) des outils rigoureux facilitant la pratique officinale.
Très tôt l’ambition du CVAO s’est ouverte à la création de lieux de dialogue. Depuis plus de 10 ans le CVAO facilite la réunion des acteurs de soins lors de son colloque annuel.
Demain le CVAO souhaite utiliser sa méthodologie pour contribuer à la création d’une pratique innovante et pertinente valorisant le pharmacien.
C’est pourquoi le CVAO s’investit avec l’Anepf dans les États généraux du premier recours.
En savoir plus https://www.cvao.org/
L'ANEPF
L'Association Nationale des Étudiants en Pharmacie de France (ANEPF), est une association fondée en 1968, à but non lucratif.
Elle regroupe les 24 associations étudiantes des 24 facultés de pharmacie de France, et représente ainsi les 33.000 étudiants en pharmacie de l’hexagone. Notre but premier est de porter les revendications des étudiants au plus haut niveau pour s'adapter aux contraintes actuelles, dans l'objectif de favoriser l'interprofessionalité et la qualité des soins. Elle se dote également de différents réseaux : Santé publique, Humanitaire, International, Tutorat et Industrie qui témoignent de la grande implication de la génération des pharmaciens de demain dans les engagements solidaires, l’accompagnement par les pairs ou le rayonnement de notre profession.
En savoir plus https://www.anepf.org/
En partenariat avec
L'AFLAR
L’Association Française de Lutte Anti-Rhumatismale a été fondée en 1928 sous le nom de Ligue Française contre le Rhumatisme. C’est la seule association concernant les maladies des os et des articulations reconnues d’utilité publique (depuis 1937).
L’AFLAR a pour mission d’optimiser et de coordonner la lutte contre les affections ostéoarticulaires et leurs conséquences, en rassemblant toutes les personnes physiques et morales concernées (dont les associations de malades affiliées, consacrées à une seule maladie).
Véritable fléau social, les maladies ostéo-articulaires constituent la première cause de handicaps physiques dans le monde, avec un retentissement humain et sociétal considérable, encore accru par le vieillissement de la population.
