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Le président de France Assos Santé, Alain-Michel Ceretti, s'interroge sur la prochaine mise en place de cette promesse du candidat Macron. Il craint par dessus tout l'arrivée d'une médecine à deux vitesses découlant des solutions "low cost" qui seraient retenues par l'Assurance maladie dans les prothèses dentaires.
Propos recueillis par Alain Perez, Stéphane Le Masson et Frantz Lecarpentier