1 FEMME SUR 10 EN ÂGE DE PROCRÉER EST TOUCHÉE PAR UN FIBROME UTÉRIN SYMPTOMATIQUE1, mais parce qu’elle connait peu ou mal cette maladie, elle ne l’associe pas facilement à certains symptômes qui lui sont liés et auxquels elle s’est parfois habituée tels qu’une fatigue, des douleurs dans le bas ventre, et des règles abondantes1,2. Le fibrome n’est pas un cancer, mais il doit être pris en charge dans les meilleurs délais, car son impact sur la qualité de vie des femmes n’est pas anodin1 ! Pour informer sans ennuyer et sensibiliser sans inquiéter, Gedeon Richter France propose tout au long de l’année et à l’occasion de différents temps forts liés à la femme et à la santé, des infographies drôles et originales, téléchargeables également sur le site internet développé par Gedeon Richter France : www.actionfibrome.fr.
Cette infographie diffusée en marge de la Nuit Blanche du 7 octobre 2017 dernier, met l’accent sur le déficit de sommeil et la fatigue des femmes qui souffrent d’un fibrome utérin symptomatique : mener une vie normale, c’est pouvoir sortir avec des amis et rester éveillée toute la nuit en profitant de Paris si on en a envie… Mais quand on souffre d’un fibrome utérin symptomatique, la soirée de douce folie, on la passe plutôt au fond du lit : 64% des femmes touchées se sentent déjà fatiguées au quotidien2 avant même d’avoir veillé ! Et si cette super soirée tombe au moment de leurs règles, alors là, c’est sûr, tout est gâché : quand une femme est obligée de changer 4 fois plus souvent de protections périodiques que les autres femmes (34 tampons par mois vs 7 à 8 en moyenne1,3), cela ne facilite pas la sérénité, d’autant que la perspective de tâcher ses vêtements fait peur à 1 femme atteinte de fibrome utérin symptomatique sur 32 !
La Journée Mondiale de lutte contre la douleur est là pour rappeler qu’aucun malade ne devrait avoir à se résigner à souffrir. Partager une infographie sur les douleurs liées au fibrome utérin lors de la Journée de mobilisation 2017 du 16 octobre a du sens : 44% des patientes atteintes de fibromes utérins souffrent de règles douloureuses et 39% souffrent même en dehors des règles2. Lorsqu’on leur demande d’évaluer la gêne provoquée par leur fibrome utérin, 1 patiente sur 4 l’évalue à 8 sur une échelle de 1 à 102 ! Cet état douloureux, tout sauf acceptable, a bien évidemment un impact sévère sur leur équilibre psychologique (30%2), leur vie sentimentale (27%2)… et même, pour 1 patiente sur 3, sur leur vie sexuelle, au point d’éviter d’avoir des rapports sexuels 2 ! Une tumeur bénigne le fibrome utérin ? Peut-être, mais pas dans la tête, pas dans le coeur… ni sous la couette ! Informons les femmes sur le fibrome utérin pour qu’elles puissent vivre leur vie pleinement !
Le site actionfibrome.fr aide les femmes à reconnaître les signes qui peuvent faire penser à un fibrome utérin, à mieux comprendre la pathologie, ses mécanismes, sa prise en charge et à mieux gérer ses symptômes. Conçu et validé avec des médecins, ce site répond aux besoins des femmes en leur proposant un contenu à la fois scientifique et des conseils très pratiques.
1 Fernandez H et al. Prévalence du fibrome utérin en France et impact sur la qualité de vie à partir d’une enquête menée auprès de 2500 femmes de 30 à 55 ans. Journal de Gynécologie et biologie de la reproduction, 2014 : 43, 721-727.
2 L’étude Les mots des maux a été menée par l’institut Ipsos du 18 août au 2 septembre 2016 auprès de 1 287 femmes constituant un échantillon national représentatif des femmes âgées de 18 ans et plus, dont 302 femmes sou rant d’un fibrome utérin symptomatique.
3 Higham JM et al. Assessment of menstrual blood loss using a pictoral chart. B.J. Gynaecology.1990 ; 97 : 734-739.