A l’occasion de la réunion présidée demain par Sébastien LECORNU, Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la transition écologique et solidaire, en présence des membres du groupe de travail national éolien, le Syndicat des énergies renouvelables rend publiques cinq mesures phares pour accélérer le développement de l’énergie éolienne dans le mix électrique français.
A l’horizon 2030, les énergies renouvelables devront représenter 40% de notre production d’électricité contre 19,1% en 2016. L’énergie éolienne terrestre jouera un rôle essentiel dans l’atteinte de cet objectif puisqu’elle est en mesure de représenter 19% de la production électrique nationale en 2030. Pour cela, le rythme de croissance annuel du parc éolien terrestre doit s’accélérer pour s’établir autour de 2 000 MW/an, contre 1 400 MW actuellement.
Depuis le 20 octobre dernier, le SER a activement contribué aux commissions techniques pilotées par la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) et la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC). Ces commissions se sont intéressées aux enjeux suivants : cadre réglementaire des projets éoliens terrestres, fiscalité locale et insertion locale des projets, renouvellement des parcs existants.
Elles ont permis au SER de présenter dans les détails une série de mesures visant à :
« Ces dernières années ont été marquées par l’adoption de mesures de simplification, saluées par la profession et dont les effets sont visibles depuis 2014, avec une première accélération du rythme annuel d’installations. Cette accélération doit se poursuivre et, pour cela, nous avons identifié cinq mesures phares pour libérer l’éolien terrestre, contributeur indispensable de la transition énergétique. », indiquent Jean-Louis BAL, Président du Syndicat des énergies renouvelables et Gwenaëlle HUET, Présidente de la Commission éolienne du SER.
Contact presse : Françoise JOUET, (francoise.jouet@enr.fr)
01 48 78 05 60 / 06 45 33 57 47