Désinfection. Un maître mot depuis quinze mois. Depuis que la Covid est apparu dans nos vies pour les figer. Une nécessité au même titre que le respect des gestes barrières pour éviter la propagation des virus et en particulier du coronavirus. Quelque 38 % des Français se laveraient ainsi les mains dix fois par jour (16 % avant la pandémie) et 43 % entre cinq à neuf fois par jour (34 % avant la pandémie).
Encore faut-il disposer d’un produit antiseptique suffisamment efficace pour barrer la route aux agresseurs extérieurs. Des agresseurs qui sont à l’origine de la grippe, des rhumes ou encore de la Covid-19. D’où l’intérêt d’un produit dont la présentation permette également une application aisée comme, par exemple, le spray.
Autant de qualités que semble posséder le spray Lysol de Reckitt-Benckiser. Né en 1889 dans le NewJersey, cette marque a fait la preuve de son efficacité pendant une épidémie de choléra en allemagne, en 1889, puis quelques année plus tard lors de la pandémie de la grippe espagnole. Utilisés par plusieurs dizaines de millions d’Américains tantôt en lingettes désiffectantes, tantôt en nettoyants multi-surfaces, les produits Lysol sont également commercialisés en aérosol depuis 1962 et la commercialisation du spray multi-surfaces.
Une forme particulièrement appréciée depuis l’apparition du corona-virus, puisque "les surfaces et les textiles peuvent être désinfectées en une minute sans qu’il soit besoin de les essuyer après l’application du produit". Une simplicité d’uttilisation sèduisante pour les consommateurs depuis le début de la crise sanitaire.
Rien d’étonnant, dès lors, à ce que les petites bouteilles bleues produites aux Etats-Unis et au Royaume-Uni s’arrachent comme des petits pains. « 2,5 sprays Lysol sont vendus par seconde aux Etats-Unis », explique le directeur marketing hygiene & home de Reckitt-Benckiser. D’autant que Lysol a été la première marque à être officiellement approuvée par l’agence gouvernementale américaine de santé et de protection de l’environnement (EPA) pour éliminer le virus de la Covid-19.
Un succès patiemment construit par l’entreprise qui, dès 2019, a lancé le programme d’engagement « Here for Healthy schools ». L’objectif ? Freiner la propagation des virus et des bactéries dans les écoles entre les enfants, en cassant la chaine de transmission dans les familles. Objectif atteint avec à la clé une nette réduction de l’absentéisme.
Des projets de recherche sont par ailleurs financé par la marque et « des partenariats noués avec des partenaires associatifs (NEA, PTA et le CDC) ont permis de développer du matériel pédagogique à destination des écoles pour apprendre aux enfants les bons gestes barrières contre les virus et les bactéries et ainsi empêcher la propagation des maladies ».
Et en France où Lysol vient de débarquer, la marque a poursuivi cette politique en faisant don de produits désinfectants à la fois à l’agence régional de santé (ARS) pour les établissements médico-sociaux et aux médecins libéraux pour leur permettre d’accueillir les familles en toute sécurité dans les cabinets de ville. Sans oublier diverses associations cartitatives qui, à l’instar de la Croix-Rouge française, pourront poursuivre leurs missions d’accompagnement des publics fragiles pendant la pandémie.